S’il y a bien un retour qui fait drôlement plaisir, c’est celui de Michel Torrekens, un écrivain talentueux, avec lequel j’ai partagé les bancs de l’université en philologie romane. Merci à lui!

« J’ai lu avec grand plaisir « Un croque-mort à côté de ses pompes« , de Bruno Dinant en parallèle avec « Le revolver de Maigret« , de Simenon Georges et j’en ressors avec l’impression que la Belgique a trouvé son Simenon namurois, région où habite l’auteur de ce polar qui retient l’attention par la densité psychologique de ses personnages. L’intrigue est diabolique (normal pour un croque-mort, à partir d’une idée de départ particulièrement originale. L’intrigue repose sur un face-à-face psychologiquement et narrativement tendu entre le meurtrier, par ailleurs narrateur, et l’inspectrice chargée de l’enquête avec un collègue. L’intrigue est magnifiquement menée sur le mode d’une partie de jeu d’échecs. Les deux personnages principaux s’adonnent en effet à un double jeu de chat et de la souris, où l’on ne sait plus qui mène qui par le bout du nez, avec chausse-trappes, quiproquos, mensonges et autres manipulations. S’ajoute à cela une dimension érotique qui vient pimenter leur relation. Et quand on croit que le roman va se terminer, survient une nouveauté qui nous permet de repartir pour un tour. On laisse la surprise de découvrir si le roman se termine sur un pat, un échec et mat, une revanche ou… ou… Suspens jusqu’au bout ! »


Source: Babelio
https://www.babelio.com/livres/Dinant-Un-croque-mort-a-cote-de-ses-pompes/1473619

(Voir copie d’écran ci-dessous)

Catégories : Le croque-mort

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